Soir à Boitsfort by William Degouve de Nuncques
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Soir à Boitsfort

William Degouve de Nuncques

ToilePeinture à l'huilePeindre
52 ⨯ 77 cm
Actuellement indisponible via Gallerease

Studio 2000 Art Gallery

  • Sur l'oeuvre d'art
    Signed lower right

    Private collection, Brussel; G.A. Gerbrands;  Kunsthandel Huinck in Utrecht 1921, by the artist

    Exhibited: 1908-2   Cercle artistique ; 1909 nr. 1 cercle artisique Brussel;1911 nr. 1  Rotterdamsche Kunstkring ; 1936 nr.4  Amersfoort Commémoratif ; 2001 nr. 4 Maison de la Belgique, Paris; 2009 nr. 1,  Museum van Elsene, schilders van het Zoniënwoud 1850-1950/ les peintres de la forêt de Soinges.
    Literature: Beeldende Kunsten 9de jaargang 1947 tekst van H.P.Bremmer ; Emmanuel Vandeput,  p.83 is Tentoonstellingscatalogus, 2009
  • Sur l'artiste
    William Degouve de Nuncques (également Nunques; 28 février 1867 - 1er mars 1935) était un peintre belge. Il est né à Monthermé, dans les Ardennes, en France, d'une vieille famille aristocratique. Après la guerre franco-prussienne (1870-1871), ses parents se sont installés en Belgique et il a appris à peindre. En 1894, il épousa une autre artiste Juliette Massin, qui l'introduisit dans le cercle des poètes symbolistes, qui eut une influence considérable sur son style. Il appartenait au groupe d'avant-garde Les XX et exposa plus tard à La Libre Esthétique. Il a beaucoup voyagé et peint des vues de l'Italie, de l'Autriche et de la France, souvent des parcs la nuit. Ses tableaux les plus connus, Pink House (1892), The Angels (1894) et Peacocks (1896), démontrent la qualité magique de son travail. On pense que la Maison Rose a eu une influence majeure sur le surréalisme, en particulier les peintures de René Magritte. Il est censé avoir dit: "Pour faire un tableau, il suffit de prendre des peintures, de tracer des lignes et de remplir le reste de sentiments". Exposant régulier à Paris, il est soutenu par Puvis de Chavannes et Maurice Denis. De 1900 à 1902, lui et sa femme ont vécu dans les îles Baléares, où il a peint le littoral accidenté et les orangeraies. Après avoir subi une crise religieuse vers 1910, il peint des tableaux qui révèlent son état d'esprit tourmenté, et pendant la Première Guerre mondiale, alors qu'il est réfugié aux Pays-Bas, il ne produit que des œuvres mineures. En 1919, il fut bouleversé par la mort de sa femme et perdit l'usage d'une main. En 1930, il épousa la femme qui l'avait aidé à traverser la crise. Ils s'installent à Stavelot, où il passe ses dernières années à peindre des paysages enneigés. La meilleure collection de ses peintures se trouve au musée Kröller-Müller, Otterlo.

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