Encyclopedie: Eruption of Mount Vesuvius in 1754; Copper engraving from: Diderot & d'Alembert 'Encyc late 18th
Denis Diderot
Robert Schreuder Antiquair
- Sur l'oeuvre d'artCopper engraving from: Diderot & d'Alembert 'Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers'.
Denis Diderot was a prominent philosopher during the Enlightenment. His most famous work was the groundbreaking Encyclopedia (Encyclopedie), a multi-volume collection of world knowledge richly illustrated with engravings, published between 1751 and 1772.
This engraving comes from the section: Histoire naturelle – Règne minéral – [6] Sixième collection (Natural History – Mineral Kingdom – [6] Sixth Collection) which was first published in 1768. Text on plate : Minéralogie, 6me collection, Volcans, Pt II, histoire Naturelle, Volcans. Eruption du Vesuve en 1754. (Plate II: Natural History, Volcanoes. Eruption of Mount Vesuvius in 1754.).
This plate was engraved by Robert Bénard, a French printmaker born in 1734. It was made after a drawing by Philibert-Benoît De La Rue, who was one of the most inventive of Diderot’s collaborators. The eruption of the Vesuvius in December 1754 coincided with the period in which excavations at Pompeii started, which caused a great interest among travellers on the Grand Tour for the volcano and the cities that were buried under the ashes.
The engraving comes in a beautiful mat and wooden frame. - Sur l'artisteDenis Diderot (5 octobre 1713 - 31 juillet 1784) était un philosophe, critique d'art et écrivain français. Il était une figure éminente pendant les Lumières et est surtout connu pour avoir été co-fondateur, rédacteur en chef et contributeur à l'Encyclopédie avec Jean le Rond d'Alembert. La réputation littéraire de Diderot de son vivant reposait principalement sur ses pièces de théâtre et ses contributions à l'Encyclopédie; plusieurs de ses œuvres les plus importantes, dont Jacques le Fataliste, le neveu de Rameau, le paradoxe de l'acteur et le rêve de D'Alembert, ne furent publiées qu'après sa mort. Denis Diderot était un philosophe éminent pendant les Lumières. Son œuvre la plus célèbre était l'Encyclopédie révolutionnaire (Encyclopédie), une collection en plusieurs volumes de connaissances du monde richement illustrée de gravures, publiée entre 1751 et 1772. Denis Diderot est né à Langres, Champagne, et a commencé sa formation dans un collège jésuite en Langres. Ses parents étaient Didier Diderot (1685–1759) coutelier, maître coutelier, et sa femme Angélique Vigneron (1677–1748). Trois des cinq frères et sœurs ont survécu à l'âge adulte, Denise Diderot (1715–1797) et leur plus jeune frère Pierre-Didier Diderot (1722–87), et enfin leur sœur Angélique Diderot (1720–49). Selon Arthur McCandless Wilson, Denis Diderot admirait beaucoup sa sœur Denise, se référant parfois à elle comme "une femme Socrate". En 1732, Denis Diderot obtient la maîtrise ès arts en philosophie. Puis il entre au Collège d'Harcourt à Paris. Il abandonna l'idée d'entrer dans le clergé et décida plutôt d'étudier le droit. Cependant, son étude du droit fut de courte durée et en 1734, Diderot décida de devenir écrivain. En raison de son refus d'entrer dans l'une des professions savantes, il a été renié par son père et pendant les dix années suivantes, il a vécu une existence bohème. En 1742, il se lie d'amitié avec Jean-Jacques Rousseau. En 1743, il s'aliéna davantage son père en épousant Antoinette Champion (1710–1796), une fervente catholique romaine. Le match a été considéré comme inapproprié en raison du faible statut social de Champion, de son éducation médiocre, de son statut d'orphelin et de l'absence de dot. Elle avait environ trois ans de plus que Diderot. Le mariage d'octobre 1743 a produit un enfant survivant, une fille. Elle s'appelait Angélique, du nom de la mère et de la sœur décédées de Diderot. La mort de sa sœur, une religieuse, due au surmenage du couvent peut avoir affecté l'opinion de Diderot sur la religion. On suppose qu'elle a inspiré son roman sur une religieuse, La Religieuse, dans lequel il représente une femme forcée d'entrer dans un couvent où elle souffre aux mains des autres religieuses de la communauté. Diderot avait des liaisons avec Mlle. Babuti (qui épouserait Greuze), Madeleine de Puisieux, Sophie Volland et Mme de Maux. Ses lettres à Sophie Volland sont connues pour leur candeur et sont considérées comme «parmi les trésors littéraires du XVIIIe siècle». Si son travail était vaste et rigoureux, il n'apporta pas de richesse à Diderot. Il n'obtint aucun des postes qui étaient parfois donnés à des hommes de lettres nécessiteux; il ne pouvait même pas obtenir la simple reconnaissance officielle du mérite qu'impliquait le fait d'être choisi membre de l'Académie française. Quand le moment est venu pour lui de fournir une dot à sa fille, il ne voyait pas d'autre alternative que de vendre sa bibliothèque. Lorsque l'impératrice Catherine II de Russie a entendu parler de ses problèmes financiers, elle a chargé un agent à Paris d'acheter la bibliothèque. Elle a ensuite demandé au philosophe de conserver les livres à Paris jusqu'à ce qu'elle en ait besoin et d'agir en tant que bibliothécaire avec un salaire annuel. Entre octobre 1773 et mars 1774, le malade Diderot passa quelques mois à la cour de l'impératrice à Saint-Pétersbourg. Diderot mourut d'une thrombose pulmonaire à Paris le 31 juillet 1784 et fut inhumé dans l'église Saint-Roch de la ville. Ses héritiers envoient sa vaste bibliothèque à Catherine II, qui la fait déposer à la Bibliothèque nationale de Russie. Il s'est vu refuser à plusieurs reprises l'inhumation au Panthéon avec d'autres notables français, mais le gouvernement français a récemment annoncé la possibilité de le commémorer de cette manière, à l'occasion du 300e anniversaire de sa naissance (octobre 2013). Cette idée semble avoir été mise de côté.
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